Toutes et tous ont répondu aux questions des collégiens. Sur le sentiment de porter le maillot "bleu" ? « C’est quelque chose d’indescriptible, même quand c’est difficile aux entraînements, accrochez-vous à ce rêve », confie le basketteur Franck Séguéla. « Quand on fait les JO on est sur une autre planète, la vie peut paraître bien fade après », renchérit Sandra Forgues, médaille d’or à Atlanta en canoë slalom avec son coéquipier Franck Adisson. « Porter la flamme devant sa famille et son public, jouer à domicile c‘était vraiment bien », complète Coralie Gonzalez qui a participé pour la première fois à Paris à des Jeux olympiques. Au moment de faire dédicacer des cartes à l’effigie des sportifs, les enfants témoignent de leur admiration. « Ce qui m’a le plus marqué, c’est leur parcours en tant que sportif et leur motivation pour s’entraîner tous les jours, avec comme récompense la possibilité de représenter la France », confie Alexis, 14 ans, élève non-voyant du collège toulousain Anatole-France venu avec ses deux copains Yassine et Luthian.