Que va-t-il se passer sur la scène du festival Jazz sur son 31 le 14 octobre prochain ?
Avec le Big Band Garonne, nous allons jouer une multitude de chansons en hommage à ma mère, sauf une que j’ai écrite pour elle qui s’appelle Child in me. Ce sera le même répertoire que celui du premier album, Simone on Simone, que j’ai sorti en 2008 aux États-Unis avec un big band. C’est très chouette, très puissant mais complètement différent des autres projets que j’ai mené ici en France. J’ai hâte de partager ce moment avec les spectateurs et le big band !
Comment avez-vous choisi le répertoire que vous allez interpréter ?
J’ai pris tous les albums de ma mère et après 45 minutes, avec un verre de vin rouge à la main (rires) j’ai choisi toutes les chansons que vous allez entendre, dont certaines sont inconnues du grand public comme Keeper of the flame, Wild is the wind ou I’m gonna leave you. Ma mère avait vraiment un grand répertoire, pas seulement celui composé de Ne me quitte pas, Feeling good ou autres, il y a 50 ou 60 chansons en plus !
Que vous apporte la pratique de la scène et le contact avec le public ?
De la joie ! Si je suis en colère ou le cœur brisé avant d’entrer en scène, je suis capable de transformer cette peine en joie grâce à la musique et au chant et de la partager avec le public. Ainsi à la fin de la soirée, tout le monde se sent très heureux.
